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A contrario - Index savant
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A contrario

De Index savant.

La locution latine "a contrario", dont cette revue tire son nom, souligne notre attachement à une vieille leçon hégélienne, disant de la pensée qu’elle est, en vérité, la négation de ce qui est immédiatement devant nous ; elle exprime en outre notre conviction que faire œuvre de science relève en partie de cette capacité à aller contre sa propre formation.

A contrario
revue interdisciplinaire de sciences sociales
Image associée au film
Auteur Association a contrario
Responsable éditorial Daniel Meier
Domaine(s) interdisciplinaire
Année de création 2003
Type de document revue
Périodicité 2 numéros par an
Support imprimé et numérique
Type d'accès aux articles libre et restreint (payant)
Accès restreint à partir de 2007
Accès libre 2003-2006
Éditeur (imprimé) Antipodes, Lausanne de 2003 à 2008
Éditeur (numérique) Cairn.info
ISSN (imprimé) 1660-7880
ISSN (numérique) 1662-8667
Label Cairn.info
Site web a contrario


Sommaire

Description de la revue

Compléments bibliographiques

  • Titre : A contrario. Revue interdisciplinaire de sciences sociales
  • Titre en ligne : A contrario
  • Titre clé abrégé : A contrar. (Lausanne)

Actualité éditoriale

Courante des numéros sur Cairn.info


Présentation scientifique

  • Domaine : interdisciplinaire
  • Fondateur :
  • Année de création : 2003
  • Projet scientifique : La locution latine a contrario, dont cette revue tire son nom, souligne notre attachement à une vieille leçon hégélienne, disant de la pensée qu’elle est, en vérité, la négation de ce qui est immédiatement devant nous ; elle exprime en outre notre conviction que faire œuvre de science relève en partie de cette capacité à aller contre sa propre formation. L’interdisciplinarité représente quant à elle ce qui peut donner une forme à un engagement de cette sorte dans un monde habitué à penser la science au moyen des notions de disciplines, sous-disciplines et spécialités.
Force est pourtant de reconnaître que l’interdisciplinarité est le plus souvent un slogan commode qui laisse entrevoir l’idéal d’un monde scientifique, espace public exemplaire, où tout un chacun serait convié à communiquer et à échanger librement avec les autres pour et par amour de la science… S’agit-il en somme d’éditer des ouvrages collectifs avec des contributions portant chacune le sceau de la discipline d’appartenance de celui ou celle qui l’a écrite ? Il reviendrait alors, dans la majeure partie des cas, à la lectrice ou au lecteur de produire la réflexion interdisciplinaire, de créer l’unité du produit qui sinon ne serait garantie que matériellement par la reliure de l’ouvrage.
Sous quelles conditions l’interdisciplinarité peut-elle alors présenter un intérêt du point de vue de la connaissance scientifique ? Ce terme ne renvoie en fait ni à une démarche, ni à une méthode, ni à une théorie particulière. Pour nous, l’interdisciplinarité résulte plutôt d’une prise de conscience réflexive sur les espaces de production scientifique et apparaît comme une mise en garde, un « principe de précaution » contre les représentations « naturelles » du monde scientifique institutionnalisé qui contribuent à la pré-construction des objets d’analyse.
Cette vision de l’interdisciplinarité recouvre un certain nombre de pratiques dont deux sont parfaitement identifiables : la première consiste à « emprunter » des concepts, des méthodes et des théories forgées au sein d’autres disciplines pour les faire travailler sur des objets censés relever de la discipline importatrice ; la seconde englobe des tentatives d’élargissement du champ d’application de théories forgées au sein d’une discipline précise à des objets relevant, toujours a priori, d’autres disciplines. Mais la validité de ces pratiques dépend étroitement de critères tout à la fois éthiques et épistémologiques. Ces critères sont bien entendu là pour éviter qu’une tentative de décloisonnement disciplinaire ne se transforme en entreprise utilitariste, folklorique voire impérialiste.
Ainsi, donner un contenu et une forme à ce point de vue sur l’interdisciplinarité constitue l’objectif principal de la revue a contrario.
Présentation plus complète dans Éditorial n° 1
  • Comité scientifique : Raphaël Baroni, Nicolas Freymond, Daniel Meier, Giuseppe Merrone, Raphaël Micheli et Lucas Oesch
  • Rédacteur en chef : Daniel Meier
  • Comité de rédaction : Raphaël Baroni, Nicolas Freymond, Giuseppe Merrone et Alexandre Pollien
  • Secrétaire de rédaction :
  • Institution de rattachement :
  • Ligne éditoriale :
  • Langue(s) des articles :
  • Numéros thématiques : certains, beaucoup de varia.
  • Appel à contribution :
  • Tables d'index :
  • Composition d'un fascicule :
  • Nombre moyen d'articles par numéro : 8
  • Type de rubriques : éditorial, articles, mémoires et thèses, document, notes de lecture.
  • Taux de refus :
  • Délais de publication :
  • Protocole rédactionnel :
Les contributions soumises à la rédaction ne doivent pas être en même temps soumises à d'autres revues ou ouvrages collectifs.
Présentation : la première page de la contribution ne doit contenir que le titre. Afin de garantir un traitement anonyme des textes, les coordonnées ainsi qu'une courte biographie de l'auteur-e doivent être inscrites sur une page séparée. Cette page comportera en outre un résumé du texte (maximum 1500 signes, espaces compris) ainsi que 6 mots dés facilitant l'indexation de la contribution.
Texte : le texte est saisi en interligne double et sans retrait. N'utiliser qu'une seule police de caractères.
Notes : les notes sont en bas de page, avec un appel de notes automatique, en exposant et sans parenthèses.
Références bibliographiques : la contribution ne doit pas comporter de bibliographie en fin de texte. Chaque référence en notes de bas de page comprend les éléments suivants :
nom-s d'auteur-e, titre, lieu ; éditeur, date, pages. Le système de référence bibliographique est le système français. Les références placées au fil du texte (Robert : 1993) sont à proscrire. Autres critères éditoriaux : les auteur-e-s sont prié-e-s de se conformer aux critères éditoriaux , détaillés, disponibles sur le site de la revue.
Les contributions qui ne tiennent pas compte de ces consignes peuvent être refusées.

Repères bibliométriques

  • Référencement bibliographique :
  • Réservoirs documentaires : BNF, Sudoc
  • Attribution de D.O.I. : oui
  • Bases de données:
  • Réseau :
  • Évaluations bibliométriques:
  • Web of Science :
  • Label ERIH  : non
  • Label CNRS : non
  • Liste CNU/AÉRÈS :

Présentation éditoriale

  • Contacts : Revue a contrario, Université de Lausanne, Internef, 80.1, CH 1015 Lausanne.
Tel. : +41 21 692 3141, Fax : +41 21 692 3145,
  • Type de diffusion :
  • Imprimé
  • Abonnement : oui sur a contrario
  • Vente au numéro : oui sur Le comptoir des presses d'universités
  • Numérique
  • Accès libre : oui de 2003 à 2005 sur Cairn.info
  • Vente à l'article : oui à partir de 2006 sur Cairn.info
  • Abonnement par bouquet : oui à partir de 2006 sur Cairn.info
  • Financements :
  • Format : html et pdf
  • Tirage :
  • Volume des consultations :

Compléments d’information (bibliographie)

Sources utilisées

Commentaires des internautes